ON va commencer par notre Julius, le plus jeune. Jules a les cheveux d'un noir corbeau, d'ou émerge deux corne noires, entourées de flammes bleues lorsqu'il s'enerve. Il a les cheveux cours, qui lui arrivent a peine sous le menton, pour ceux qui sont a l'arrière. Ceux de devant, ils lui arrivent jusqu'au milieu des joues. Il a de grands yeux bleus, et un visage fin. Il est legerement plus petit que son frangin. Dans son dos, il a une queue noire et velue qui fouette l'air derrière lui constemment, sauf quand il dort. Il enflamme aussi inconsciemment le bout de sa queue quand il s'enerve. IL contrôle des flammes bleues. Ses oreilles sont pointues a force de se faire tirer les oreilles, et il a des canines dites de "vampire" qui sont bien plus developpées et pointes que toutes les autres. Enfin, il a les ongles longs et pointues. De primes abord on pourrait le prendre pour un vampire, car les cornes sont noyées dans les cheveux exactement de la même couleur.
Son arme est une arme simple avec une crosse brune, et trois canon surmontés d'une tête de loup chacuns. Sur le canon il y a des vagues qui sont plus semblables a des flammes qu'a autre chose. Deux des trois canons sont en decorations. Leurs seule utilité est que la balle sort d'un des trois canon au hasard. Enfin, attaché a la crosse, il y a une espèce de croix qui cliquette quand il bouge.
Pour Arthur, tout est different, sauf la couleur des cheveux. En effet, lui n'a pas de corne ni de queue, et ne contrôle pas le feu. Il a simplement les cheveux noirs, raides, qui lui tombent devant les yeux. Il porte des lunettes carrées noires, qui masquent en partie les yeux d'un bleu pur qu'il possede. Après, son visage est similaire a celui de son frère, a defaut que lui a plus un coté humain, qu'un coté vampire. Ses canines sont normales, et ses ongles aussi. Il est plus grand que son frère.
Son arme est bien plus imposant que celle de son frère, et beaucoup plus belle. Le canon de l'arme est noir et blanc, Blanc du fer, et noir des flammes qui colorisent l'arme. Sur l'anti-chambre, il y a le nom de l'arme, Death Penalty. IL y a la aussi trois canons. Le barillet. Le barillet a une grande important dans l'arme. En effet, pour le faire tourner, il faut faire tourner la manivelle sur le coté. Cela place ensuite une balle dans l'un des trois canons. Cette manivelle a des espèces d'épées qui relient l'anneau central a l'anneau exterieur. Cette manivelle n'est que d'un coté. Enfin la crosse reprends les couleurs des canons : blanc fer et noirs flammes. La crosse est large, ce qui peut donner une impression d'inconfortabilité au tireur.

Nos deux frères sont très attirés par la musique. Ils ont leurs propres gouts musicaux, et aussi leurs propres instruments. C'ets pour ca qu'a eux deux, ils peuvent faire un concert. En effet, Jules aime beaucoup le son de l'ocarina. Il s'en est degoté un, un pas cher, en attendant d'avoir assez d'argent pour s'en payer un neuf. IL aime faire languir son auditoire, avec des musique lentes et sensuelles. C'est en faite comme ca qu'il est. Il aime faire languir la demoiselle face a lui, lui faire croire qu'il aime les femmes, puis une fois qu'elle est tombée dans son piège, lui avouer qu'il aime les hommes. Oui, Jules est un sadique, qui aime malmener les femmes qu'il rencontre, mais ca n'empeche pas l'amitié. En effet, et curieusement d'ailleurs, Jules se fait en general plus d'ami fille que d'ami homme. Peut être aiment-elles sa queue ? Enfin bref, sur cette blague de merde, passon a Arthuro.
Arthur lui, joue de la flute traviersière. Ses musiques sont plus noires, lentes et profondes. C'ets le genre de musiques, lorsqu'elles sont bien jouées, qui prennent au trippes, et qui amènent les larmes aux yeux. Voila le genre d'homme qu'est notre Arthur : un homme melancolique. Il aime mieux la compagnie des livres que la compagnie des hommes. Mais comme nos deux frères sont des enfants des rues, faut bien penser que les livres, ca court pas les pavés. Il n'a que des livres au mauvais état, achetés au rabais, qui ne valent rien, et dont les pages manquent pour la plupart. Arthur aime la compagnie des objets inanimés, mais encor eune fois, dur dur de trouver cela en pleine foule. Alors Arthur, qui est l'ainé, s'est mis en tête, non seulement de montrer l'exemple, mais en plus de se sociabilisé. Il fait donc un gros boulot sur lui même. Mais cela le rebute toujorus autant, quand il a choisir, de sortir.
C'est grace a son petit frère, qui le traine un peu partout, qu'il sort. En effet, Arthur, en grand frère modele, s'inquiète constemment pour son frangin, et il ne le laisse jamais seul longtemps.

WOUUUUUF ! Oui, notre histoire commence par une deflagration, mais c'est normal, n'ayez crainte. Cette explosion de feu se passe dans un camp de gitans. Quelques caravanes étaient dispersées un peu partout dans la plaine, et des enfants jouaient joyeusement entre. De nombreuses personnes étaient dehors, soient pour travailler, soient pour manger, soient pour bavasser. Cependant, de toutes les caravanes, il y en avait une, celle qui avait été victime de la deflagration, qui était a l'écart. Lorsque la gerbe de flammes bleue s'éleva vers le ciel, tous les regards se tournèrent vers, puis, un leger rire s'échappa d'une mamie, qui fit simplement :

-Oh, ce n'est rien, c'ets juste Jules qui joue avec le feu.

Dans la fumée de la caravane carbonisée pour la cinquième fois, un jeune enfant, agé d'a peine 6 ou 7 ans sortait en toussant, les joues noires et les cheveux brulés. Ses vetements étaient brulés par endroit, et des traces noires trainaient dessus. Derrière lui, une queue noire dont quelques flammes restaient dessus se balancaient, et sur sa tête, deux cornes, qui brulaient comme des bougies. Le petit avait les larmes aux yeux. Après quelques instant, une fois sorti des debris, les gouttes salées se mirent a devaler ses joues :

-GRAND FREREEEEEEEEE ! VIENS ME CHERCHEEEEEEER ! J'AI PEUUUUUUUR !

En effet, il n'y avait visiblement personne dans la caravane. C'est alors qu'un autre gamin, a peine plus agé que lui deboula a proximité. Il s'approcha et vint le saisir dans ses bras, doucement. LE plus jeune se cacha contre lui, et continua de chouiner, avant que leurs maman n'arrive. Elle soupira, depité, en voyant l'état de la maison, puis s'accroupit a coté de ses enfants, pour les serrer dans ses bras. Elle declara alors doucement, a l'intention du plus jeune :

-Voyons, Jules. Ne pleure plus, on est la.
-Vous êtes partis sans moi... J'ai eu peur... Vous m'abandonnez pas hein ?
-Non voyons petit Julius, on ne t'abandonne pas, on était simplement parti vers quelques courses. Regarde. Tu vois ?

En effet, elle tenait un sac de course en papier dans ses mains. Le plus jeune se secha les yeux et regarda son grand frère, qui le couvait du regard. Il regarda ensuite sa maman, qui lui souriait, puis elle regarda la caravane. Le petiot suivit son regard, avant de baisser les yeux :

-Désolé... J'avais peur... MonT-shirt il s'est bloqué sur l'evier. Quand j'ai tiré, le tuyau il s'est cassé et de l'air qui sent mauvais en est sorti. J'ai le nez bouché. L'air uqi sent mauvais il est resté sur le plafond, puis quand il a vu les cornes et il a prit feu. Ca a fait Wouf et le plafond il s'est ouvert.
-Aller mon grand, aller, on va trouver de quoi reboucher le toit. Vous venez mes amours ?

La famille tacha alors de fouiller dans la decharge voisine pour trouver des tolles qui puissent les proteger de la pluie. Tout en fouillant, Jules trouva un vieil ocarina, qu'il garda precieusement depuis ce jour la. Arthur s'inscrivit, bien des années plus tard a quelques cours de flute traversières, qu'il pu se payer en travaillant.
Un beau jour, alors que nos deux frangin étaient chez eux, en train de farfouiller afin de trouver quelques livres dans la dechetterie, leur mère arriva, accompagnée de deux hommes en costard noir. Elle avait un sourire forcé, et semblait assez mal a l'aise.

-Mes amours, vous allez m'écouter.
-Oui ?
-Ces messieurs sont les gardes d'un ami a moi. Je n'ai plus les moyens d'assurer notre train de vie habituel. Vous allez donc aller chez cet homme. Il se nomme Lysandre. Vous allez pouvoir avoir une véritable éducation. Vous allez être heureux.

Les deux frères se regardèrent, puis baissèrent la tête. Cela c'était passé en Novembre dernier. Durant tout Decembre, ils avaient fais connaissance avec leur protecteur, et dans leurs nouvelles vies. L'homme s'était avoué très genereux, il leur avait payé des instruments de qualité, et leurs avait appris les bases du solfège. Puis, après les fêtes, ils furent inscrit a Hoshiyo, dans un petit village paumé. C'est ainsi que nos deux frangin arrivèrent avec leurs maigres bagages et quelques vetements empruntés a leur protecteur.

J'ai la flemme de l'ecrire, vous connaissez mon niveau de rp, pitié, évitez moi ce test T.T